AMELIE ET LES ANIMAUX

Dans un petit village vivait une petite fille prénommée Amélie.
Une jolie petite fille avec une chevelure brune des yeux de chat d’un vert émeraude !
Amélie adorait son papa et sa maman. Son tempérament joyeux, faisait qu’elle était entourée d’amis.
Pour Noël dernier elle avait eu un petit chien qu’elle avait appelé voyou, car il avait l’habitude de manger les chaussons qu’il trouvait, maintenant c’était fini mais le surnom lui était resté et lui du moment qu’il était avec sa maîtresse il s’en moquait ! Et il l’accompagnait partout.
Un jour, Amélie pénétra dans l’atelier de son papa. Pleine de curiosité, elle essayait de savoir le nom de choses et à quoi elles servaient. Et elle disait à qui voulait l’entendre qu’elle apprenait avec son papa pour être comme lui une bonne bricoleuse.
Aujourd’hui, une surprise désagréable l’attendait.
Un petit oisillon blessé. Papa l’avait mis dans une boite avec un chiffon
"Oh! s’écria Amélie, je vais le soigner."
Elle sortit de l’atelier avec la boite ou se trouvait l’oisillon, courut à la maison pour le soigner comme elle l’avait déjà fait avec d’autres animaux.
Voyou regardait tout ce qu’elle faisait et il savait (bien que parfois cela lui démangeait, qu’il ne devait pas toucher les petits oiseaux. Amélie mis ne l’eau tiède dans une bassine et trempa le petit doucement car il était plein de boue et il fallait savoir ou il était blessé !
Il se laissa faire en poussant de temps à autre des petits cris « piou piou » comme pour dire, «ne me fait pas mal surtout » et Amélie lui parlait doucement pour le rassurer, on aurait dit que le petit oiseau comprenait car il penchait la tête sur le côté. Il avait une blessure à l’aile, pas grand-chose, mais il avait du se faire cela en tombant du nid !
Elle prit le mercurochrome de en mit sur la petite plaie puis pour être certaine qu’il ne bouge pas son aile, elle l’immobilisa contre son tout petit corps et lui fit un petit lit dans un lit de poupée qui avait déjà accueilli d’autres oiseaux, elle mis sur lui, car il devait avoir de la fièvre et c’était l’hiver puisque l’on été le 23 décembre, une petite couverture de poupée bien douce.
Puis elle le posa sur le haut de l’étagère, avec voyou on ne sait jamais, peut être juste pour jouer, mais il pourrait lui faire mal, donc hors des pattes de voyou.
Le soir arrivé elle s’inquiété toujours pour son petit protégé qu’elle emporta dans sa chambre, et le mis avec les poupées de collection en hauteur, et puis s’il avait mal elle l’entendrait, en attendant, elle lui avait donné des minuscules morceaux de pain trempés dans du lait et il avait bien mangé, puis avec une seringue elle le fit boire. Puis elle éteignit la lumière, aussitôt comme un signal donné voyou montant sur le lit et se mit au bout avec un gros soupir !
Amélie avait entendue parler de la télépathie, aussi elle se mit à parler à la maman de piou piou en lu disant qu’il était blessé mais pas beaucoup et demain elle le mettrait un peu dehors pour qu’elle le voit. Elle dit aussi que son petit serait content de voir se maman, et après elle s’endormi tout en continuant de parler.
Le lendemain matin, Amélie se leva, son petit oisillon sous le bras et le déposa sur la table du petit déjeuner ou elle mangea avec bon appétit ses tartines beurrées de miel et bu son chocolat bien chaud.
"Ne t’inquiète pas maman, dit Amélie qui déjà enfilait ses bottes et son manteau, je suis prés de l’atelier de papa."
Amélie courut plus vite qu’elle ne le pouvait et arrivée à l’endroit ou son papa avait trouvé le petit oiseau, elle le déposa sur un pierre plate au dessus du sol pour que le froid n’entre pas dans le berceau et un peu plus loin elle attendit assise sur une chaise dans l’atelier de son papa.
Elle eut une grande surprise. Elle vit voler dans le ciel un oiseau qui faisait des ronds autour du berceau, le petit criait sans arrêt « piou piou » L’oiseau qui était la maman du petit osa descendre le voir, elle le mis sons son aile et resta là un moment, puis elle repartit, et quelques minutes après alors qu’Amélie allait le rentrer, la maman revint avec un verre de terre dans le bec et le donna petit bout par petit bout à son bébé et elle le repris sous son aile bien au chaud.
Maintenant se dit Amélie, Il faudrait que je le rentre j’ai peur qu’il ait froid et s’il avait une maison à oiseaux, sa maman le soignerait.
Ce qu’elle n’avait pas vu c’est que son papa avait fabriqué un joli petit nichoir à oiseau bien au chaud, entouré des branches. Quand il lui montra elle lui sauta au coup et lui dit "Tu es le meilleur des papas", "et toi ma fille tu es la plus gentille de petite fille"; Maintenant il faut mettre le petit dans le nichoir, j’ai mis des brindilles et du coton, j’ai regardé comment étaient les autres nids et quand il sera dedans, sa maman viendra certainement !
Amélie trouva l’idée de son papa super géniale, elle arriva doucement et la maman qui ne la connaissait pas s’envola et fit des ronds autour de son petit.
Elle regarda Amélie mettre le petit dans le nid, accrocher une boule de graisse avec des graines pour oiseaux et elle s’éloigna. Presque aussitôt la maman après avoir bien regardé autour, entra dans le nichoir et Amélie du rentrer dans la maison car c’était l’heure du déjeuner. Elle aida sa maman à installer et garnir le sapin de, cette année c’était sa famille qui recevait! Puis elle retourna avant la nuit voir dans le nichoir, le petit était seul, elle le prit, le ramena à la maison et enleva son pansement, elle lui mit un peu de crème à cicatriser attendit qu’elle soit bien pénétrée puis le remis dans son nichoir.
Le soir elle alla à la messe de minuit avec ses parents et trouva la crèche encore plus jolie. En rentrant, elle alla vite se coucher sinon le père Noël ne pourrait pas passer.
Le matin le soleil la réveilla en lui chatouillant le bout du nez, vite elle mit sa robe de chambre, ses chaussons et descendit. Toute la famille était déjà là et ils l’attendaient pour les paquets, car elle devait donner les paquets ou étaient marqués les noms. Elle en vit plusieurs à son nom, et à la fin se précipita sur ses paquets. Une trousse d’infirmière, et un habit d’infirmière ! Super, le père Noël ne s’était pas trompé ! Merci Père Noël Et pour vous j’espère aussi qu’il ne se trompera pas, cela arrive ! il a tellement de travail.

Et moi qui n’ai pas encore fait mes courses de Noël comme tous les ans, à la dernière minute, je vous embrasse, je suis très en retard, à demain